Je parle du jeu de course Hitman III
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Ces premières aventures du Hitman ont été lancées via IO Interactive en novembre 2000. Vingt ans! La éternité en langage passe-temps vidéo. Pensez donc: chez l’époque, très chanceux venaient d’acquérir un Pentium III épaulé par une carte GeForce 256, et La société microsoft faisait sensation après obtenir évoqué son arrivée de la ville de la console du jeu.
IO Interactive vous permettait donc d’incarner le méchant des siècles, l’Agent 47. Trois titres ont travail – Silent Assassins (2002), Contracts (2004) et Sang Money (2006) – et de plus sans que l'on y met (trop) à redire. PC Jeux
IO Interactive a pourtant décidé de mettre un matière aux agissements du mieux célèbre tueur à gages du jeu vidéo. En définitive, jusqu’en 2016 et cette sortie (épisodique) de Hitman, un reboot avec tout ce que cela pouvait avoir d’inquiétant. Pourtant, qu’il soit question de Hitman (2016) ou de Hitman 2 (2018), la qualité était au rendez-vous. IO Interactive a même délirant tendance à se améliorer avec les années. Ainsi, jamais les niveaux n’ont été aussi ouverts, solides et féconds en alternatives diverses qu’avec cet opus débarqué courant 2018. Cependant peut-être est-il important de préciser les fondements de la série?
En effet, un épisode du Hitman débute toujours un filet de la même manière et repose toujours élément peu sur les mêmes bases. Tueur à gages de son état, l'Agent 47 est sollicité pour mener à bien une tâche bien précise quelque part sur une planète. Il dispose relatives au quelques rares informations pour de préparer sa fonction en choisissant son matériel et en sélectionnant des objets qui peuvent l’attendre sur place – préliminairement déposés par un comparse – dans divers recoins. Ensuite, une fois survenu sur les lieux du son prochain méfait, l’Agent 47 est libre de préparer son action tel il l’entend.
Cette liberté d’entreprendre est la roche angulaire de tout épisode, et Hitman 3 non déroge pas à cette règle. Elle garantit une belle rejouabilité, puisqu'on a la faculté de reprendre la même vocation pour parfaire son œuvre ou la relancer afin de envisager des approches plusieurs. C’est qu’un Hitman – plus encore depuis un reboot de la franchise – ne se joue pas plus longtemps comme n’importe quel passe-temps d’action dasn lebut à une troisième personne. Au chargement d’une mission, on débute effectivement par une gent de tour d’horizon de la zone de passe-temps: on détermine la place de la ou des cibles à atteindre.
Au sein de un second temps, la base est d’échafauder un plan. De sorte à atteindre sa cible, il faut parfois traverser différents corde de sécurité ou resurgir une zone difficilement abordable. Dans le cas de la mission à Berlin, celui-ci s’agit d’atteindre les coulisses d’une soirée underground. Dans Dubaï, il faut empaumer d’innombrables gardes du corps, lourdement armés. Préparer le plan implique de piger comment on va comprendre à notre cible, comment on va la insérer hors d’état de nuire, mais aussi comment l’Agent 47 va pouvoir s’enfuir.
Dans l’absolu, une coup ces trois variables établies, le plan peut se dérouler… on l’espère sans accroc. On peut donc terminer la mission sous une à deux périodes interminables à chercher, et puisque Hitman 3 dispose de six théâtres d’opération, la « session » an une période quotidien théorique de cinq à douze heures. Vous vous dites sans suspicion que c’est franchement léger pour 60 euros, mais aussi vous auriez raison si le but d’un joueur de Hitman était tout bêtement d’atteindre le hyperonyme de fin. Ce n'est pas le cas: au sein de Hitman, on recherche l’excellence, on veut accomplir ce meurtre parfait et, pourquoi pas, tendre vers ce fameux 100%.
Tout cela de sorte à dire qu’une mission du Hitman 3 – comme celles de Hitman et Hitman 2 – pas s’arrête pas dès lors sommaire l’on a éliminé une ou les cibles et que l’on est parvenu à s’enfuir. Au contraire, on pourrait même dire qu’elle ne fait que commencer. Ce premier run peut être vu comme une espèce d’entraînement. On a la possibilité évidemment être très exposent de sa performance sur cette première tentative, mais le débrief nous programme souvent qu'on a chez peine effleuré fond du cette mission avec – grosso modo – un pourcentage de « complétion » de l’ordre de 10-15%.
Pour des néophytes, ceci peut surprendre: la fonction est terminée et une n’en aurions vu que le dixième? Oui, car pour un habitué, un premier run est surtout l’occasion de prendre un maximum d’informations sur la configuration du cru, sur le nombre de personnages non parieurs présents et sur leur comportement. On écoute à elles conversations, on découvre ce que les développeurs appellent des « intrigues » et qui constituent tellement de moyens d’échafauder relatives au nouveaux plans d’actions, du nouvelles façons d’atteindre l’objectif final.
Sans avoir à trop en révéler et dévoiler ce qui fait le charme une découverte, soulignons le passe qu’une intrigue agit comme une espèce de mini-scénario dans le cadre de la mission. Certaines sont cruciales pour avoir une chance de remplir la mission, d’autres se présentent comme plus triviales et se présentent comme plutôt là pour procurer des idées originales au téléphone joueur. Ces intrigues ont la possibilté de sembler moins nombreuses que sur Hitman 2: sous réalité, c'est que IO Interactive a décidé relatives au masquer certaines. Parallèlement, en assassin d’expérience, l’Agent 47 ne sort jamais et de plus sans son pistolet équipé d’un silencieux ou sa illustre corde à piano, une paire de armes très efficaces cependant qui ont la fâcheuse tendance à ne peu laisser de doute au sein du destin de la cible.
Une grande majorité des missions permettent de faire preuve de davantage de fantaisie et dans certains cas, il sera même très difficile du soupçonner ne serait-ce qu’un assassinat. Dénuder quelques rejet bien placés peut vite transformer une électrocution « accidentelle » en crime parfait. Il en ira de même pour un incendie bien involontaire et aussi pour une chute malencontreuse depuis un balcon. Prenons le cas d'un empoisonnement: l'assassinat ne fait guère de doute, mais la discrétion absolue d'une retour méthode est parfaite pour l'Agent 47 qui peut ensuite quitter les lieux sans le moindre soucis.
Tout l’intérêt de Hitman III – et valeur lui de Hitman / Hitman 2 – est justement de pousser le joueur à chercher les solutions diverses et variées au travers de multiples défis: les développeurs ressntent d’ailleurs un malin thymus de veau nos titiller en arborant une vaste grille recensant les défis réalisés & ceux encore à mener à bien sur l’écran de fin de mission. Ils s’amusent également à nous donner un score qui sera sévèrement amputé si personnes s’amuse à massacrer d’innombrables innocents… Il est parallèlement possible être le assassin et avoir notre certaine éthique.